dimanche 6 novembre 2011

L'obligation d'avoir une vie palpitante et efficace. Dans un domaine ou un autre. L'interdiction de la médiocrité.

On ne peut pas manger de nouilles jambon, ou alors, autant manger une pizza toute prête (alors que non).

On ne peut pas avoir un copain gentil ; il faut vivre de l'histoire d'amour douloureuse.ç


On ne peut pas aller en vacances platement. Ou alors, le bord de mer à pas cher mais juste pour se délasser. Sinon, l'aventure.

Comme c'est chiant et hypocrite !
Aux Etats-Unis, ils vont encore exécuter un mec sans vraiment faire gaffe...

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dimanche 24 juillet 2011

Je me pose la question. Quand on a un proche vraiment toxique, doit-on s'atreidnre à le fréquenter parce que c'est la famille ou peut-on le zapper ?

La question est toute simple mais je ne sais pas quoi faire.


Pourquoi restons-nous dans de telles situations ?
Certaines personnes n'ont jamais pris conscience de leurs propres besoins et désirs. Il a toujours été plus important et plus simple pour elles de répondre aux demandes et aux besoins des autres. Ces personnes nient l'existence de leurs propres besoins. Il en résulte de la frustration ou de la tristesse qui sont pénibles à supporter. Les gens vivent de telles situations pendant de nombreuses années par peur de déplaire, d'être jugés, de ne plus être aimés et appréciés, de faire de la peine ou de blesser l'autre et pour éviter les conflits. Nous sommes en partie responsable des manipulations que nous subissons. Bon nombre de personnes ne semblent pouvoir vivre qu'à travers le regard et le jugement des autres. Elles ne peuvent exister par elles-mêmes. Avec le temps, le malaise qui en résulte prend des proportions exagérées. Un concept inconscient et irrationnel nous fait craindre de nuire à l'autre lorsque nous nous faisons plaisir. Plus nous sommes passifs, soumis et uniquement attentifs au bien-être des autres, plus
nous sommes vulnérables face aux personnes toxiques.

Ça n'est pourtant pas totalement ça, car j'ai souvent protesté et ralé.

Mais au fond j'ai peur. Peur de la réaction de cette personne. Je voudrais qu'elle comprenne, tout en sachant qu'elle ne peut pas. Donc je reste dans un entre deux, parce que si je m'éloigne trop nettement (ou en le disant : je ne veux plus te voir), ça fera un micro drame.

J'ai déjà voulu couper des ponts et ça ne m'a pas réussi. En outre, cette personne chamge d'idées au fur et à mesure. Tout ce qu'elle me dit va donc lui passer.

samedi 30 avril 2011

Lourde tristesse aujourd'hui. Pourtant il fait beau.

lundi 21 mars 2011

Conversation au tel avec mon père qui me évoque, scandalisé, les expériences des romantiques (Baudelaire) avec substances hallucinogènes.

- C'est un peu un mauvais exemple, me dit-il, pour les jeunes. C'est comme avec les Islamistes.

Je l'interroge sur le rapport entre les expériences des Romantiques avec l'opium, et les terroristes islamistes.

- Eh bien, dit-il mécontent, avec les drogues, on peut manipuler les gens et les obliger à commettre des attentats. Cela dit, on faisait boire les soldats lors de la première guerre mondiale. "un soldat qui a bu marche droit à la guerre". Oui, c'est un peu la même chose (enfait, il réfléchit tout haut) Voilà un sujet de réflexion.

samedi 19 février 2011

les collègues. Envie de secouer tout ça mais pas facile. Impression d'être sous une chape de plomb.

mercredi 2 février 2011

C'est curieux ces gens sur internet, mais aussi dans la vie, ces filles en général, qui se racontent elles mêmes en percevant parfaitement les éléments irrationnels, pénibles, difficiles à supporter chez elles - on n'a pas besoin de les imaginer, elles te le disent et te racontent par le menu les erreurs qu'elles ont fait et qu'elles regrettent, et elles t'expliquent à quel point elles ont fait du mal à l'autre, etc, bref elles sont insupportables à vivre, te disent-elles.

Donc quand elles tombent amoureuses une nouvelle fois, tu SAIS que ça va merder.

Tu as envie de leur dire : fais gaffe, sois open, reste zen, sois tolérante, enfin en gros, ne refais pas les même erreurs.

Tu as envie de le dire car ces gens te semblent sympa.

Mais ils t'envoient chier parce que tu les bouffes, tu ne les comrpends pas, tu les emmerdes.

Ça merde.

Tu le savais. Remarque, ça ne changeait rien de le savoir.

Des gens comme ça, j'en ai connu dans ma vie, mais très vite je les fuis : donc en fait, ça ne m'arrive jamais IRL. Mais sur internet, ces gens là bloguent, et souvent bien, donc tu lis leur blog, t'attache à eux et voudrait bien qu'ils ne merdent pas.

Mais ils merdent. Et si tu t'es inquiété d'eux avant, ils t'envoient chier, donc.

Mystère. Mystère absolu.

Pourquoi ne se corrigent-ils pas ? C'est ça leur défaut, en fait, pas d'être insupportables comme ils se racontent : on l'est tous. Mais d'être incapable de se remettre en question.

lundi 24 janvier 2011

On oppose, je trouve, les petits jeunes qui ont du mal à débuter et les chefs, jeunes loups aux dents longues. C'est pourtant vrai qu'il est plus dur qu'avant de trovuer un boulot ; mais il et vrai aussi que les nouveaux ne veulent plus de postes subalternes. Alors, qui occupera les postes subalternes ?

jeudi 20 janvier 2011

Ce qui est passablement exaspérant, dans le boulot, c'est la façon bloquée dont les gens vous voient. Ils ne s'attendent pas à être surpris ar vous. Ils croient vous connaître.

mercredi 19 janvier 2011

samedi 15 janvier 2011

Je l'appelle, juste pour prendre de ses nouvelles. Ça crée une petite panique. Il n'a pas le temps maintenant, mais il en est désolé et passe un temps fou à s'excuser de ce temps qu'il n'a pas, m'explique pourquoi il sort, pourquoi il doit sortir.

Pas grave, je lui dis, on s'appelle demain au besoin. Il s'excuse encore. Ça pourrait être attendrissant. je le vois plutôt comme un problème à gérer des relations sociales. Il a le droit de ne pas être immédiatement disponible.

Peut-être devrais-je faire pareil avec elle : c'est à dire, quand elle m'appelle de façon intempestive (et que je sais qu'elle en a pour une heure), m'excuser pendant des heures.

En fait, il sait qu'il est peu dispo pour moi et quand il se trouve face à la chose, au fait brut, il culpabilise. Parce qu'il pourrait aussi, après tout, ma'ppeler de lui même parfois. Mais il ne le fait jamais. Il oublie.

jeudi 13 janvier 2011

Quand je suis fatigué, j'ai souvent très vite froid.

lundi 10 janvier 2011

Marrant.
Dans cette histoire, on se demande si le message n'est pas : coûte que coûte, on ne se laisse pas faire, quitte à perdre des otages.... Brrr.